Pourquoi certains chefs d’entreprise s’obstinent-ils à tout gérer eux-mêmes alors qu’ils ont les moyens de déléguer ?
Pourquoi hésitent-ils à augmenter leurs prix, alors que la valeur de leurs produits et services dépasse largement ce qu’ils facturent ?
Et pourquoi se contentent-ils d’objectifs modestes alors qu’ils ont toutes les capacités pour viser plus haut ?
Dans 90% des cas, la réponse tient en deux mots : croyances limitantes.
À cause d’elles ils surchargent leurs journées, travaillent soirs et week-ends et freinent la croissance de leur entreprise
Si vous vous retrouvez dans cette situation, sachez qu’il est possible de changer. Dans cet article, vous apprendrez à identifier ces croyances, à les déconstruire et à les remplacer par des nouvelles qui vous permettront de libérer votre temps et de faire grandir votre entreprise sans vous épuiser.
- Qu’est-ce qu’une croyance limitante ?
- 3 types de croyances personnelles
- Comment vos croyances façonnent votre réalité ?
- D’où viennent les pensées limitantes ?
- 11 exemples de croyances limitantes des chefs d’entreprise débordés (et leurs conséquences)
- Comment surmonter vos croyances limitantes en tant que chef d’entreprise ?
- Conclusion
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Qu’est-ce qu’une croyance limitante ?
Une croyance limitante (ou pensée limitante) est un état d’esprit ou une conviction qui freine votre potentiel. C’est cette petite voix intérieure qui vous répète sans cesse :
- Tu ne réussiras jamais à rien.
- Tu n’es pas assez intelligent.
- Tu es trop vieux / trop jeune.
- Tu n’es pas assez discipliné.
- Tu n’as pas de talent.
Ce sont toutes ces choses que vous pensez à propos de vous-même, des autres et du monde et qui impactent négativement votre carrière, vos relations, votre santé et votre bien-être.
3 types de croyances personnelles
1. Les croyances limitantes à propos de vous-même
Ces croyances concernent votre propre identité, vos capacités et votre valeur. Elles dictent ce que vous pensez être capable ou incapable de faire.
Exemples :
- Je ne suis pas fait pour être un leader.
- Je ne peux pas déléguer, car personne ne fera aussi bien que moi.
- Si je ne travaille pas dur en permanence, je vais échouer.
Ces croyances influencent directement votre confiance en vous, votre manière de prendre des décisions et votre capacité à progresser.
2. Les croyances limitantes à propos des autres
Ces croyances concernent la façon dont vous percevez les autres : leurs intentions, leurs compétences, leurs comportements. Elles peuvent vous amener à juger trop rapidement, à mal interpréter certaines situations et à limiter votre collaboration avec eux.
Exemples :
- Si je ne contrôle pas tout, mes employés feront des erreurs.
- Les clients ne veulent pas payer cher, ils cherchent toujours le moins cher.
- Si je demande de l’aide, les autres me percevront comme faible.
Ces croyances influencent la manière dont vous travaillez en équipe, gérez vos relations et déléguez vos responsabilités.
3. Les croyances limitantes sur le monde
Ces croyances concernent votre vision globale du monde, de l’économie, du succès et des opportunités. Elles conditionnent votre manière d’aborder les défis et les opportunités.
Exemples :
- Le marché est saturé, il est impossible de réussir aujourd’hui.
- Pour gagner de l’argent, il faut sacrifier sa liberté.
- Instaurer des processus rend une entreprise rigide et inefficace.
Ces croyances déterminent votre niveau d’audace, votre capacité à prendre des risques et à vous adapter aux changements.
Comment vos croyances façonnent votre réalité ?
Les croyances sont puissantes, car elles influencent vos décisions, qui, elles-mêmes, façonnent votre réalité.
Prenons un exemple.
Si vous êtes convaincu que personne ne peut faire votre travail aussi bien que vous, vous éviterez systématiquement de déléguer. Vous accumulerez les tâches, votre charge de travail deviendra ingérable et vous serez constamment submergé. Pendant ce temps, votre équipe ne développera jamais les compétences nécessaires pour vous soulager. Résultat : votre croyance se renforce, et vous vous persuadez encore plus que vous êtes le seul à pouvoir tout faire.
Maintenant, imaginez que vous adoptiez une autre croyance : Je peux former et responsabiliser mon équipe pour qu’elle devienne autonome. À partir de là, vous commencez à déléguer progressivement, vous transmettez vos connaissances et donnez à vos collaborateurs l’espace pour apprendre. Petit à petit, ils gagnent en compétence et en confiance, jusqu’à pouvoir gérer des responsabilités sans votre intervention. Vous réalisez alors que déléguer était non seulement possible, mais essentiel pour la croissance de votre entreprise.
Finalement, il n’y a aucune vérité absolue, il n’y a que des prophéties autoréalisatrices. C’est parce que vous croyez certaines choses qu’elles se matérialisent ensuite. Comme le disait Henry Ford :
Que vous pensiez être capable ou ne pas être capable, dans les deux cas, vous avez raison.
Vous avez donc tout intérêt à choisir attentivement vos croyances pour réaliser votre plein potentiel.
D’où viennent les pensées limitantes ?
1. Notre enfance et nos parents
Dès notre plus jeune âge, nous absorbons les paroles et comportements de nos parents. Même des remarques bien intentionnées peuvent avoir un impact négatif :
- “Tu es tellement intelligent !” → Ce type d’éloge peut nous amener à croire que notre valeur repose uniquement sur notre intelligence, et que l’effort n’est pas important.
- “Sois sage.” → Cela peut nous apprendre à éviter les conflits à tout prix, nous empêchant plus tard de défendre nos besoins ou d’affirmer nos limites.
2. Nos enseignants et l’école
Le système scolaire, basé sur la conformité et la performance, renforce certaines croyances limitantes :
- Les bonnes notes définissent notre intelligence et notre valeur.
- L’échec est quelque chose de honteux et non une opportunité d’apprentissage.
- Il faut suivre un chemin tout tracé pour réussir (baccalauréat, études supérieures, emploi stable, etc.).
Ces idées peuvent nous conditionner à éviter le risque, à chercher constamment la validation externe et à douter de nos capacités en dehors du cadre académique.
3. Nos pairs et la pression sociale
Les commentaires et jugements des autres nous façonnent. À l’adolescence et même à l’âge adulte, nous avons tendance à accorder beaucoup d’importance à ce que les autres pensent de nous.
- “Tu es trop ambitieux.” → Peut nous faire douter de nos objectifs et nous freiner dans nos projets.
- “Personne ne réussit dans ce domaine.” → Peut nous décourager d’essayer d’entreprendre.
4. Nos expériences passées
Chaque échec ou difficulté nous pousse à tirer des conclusions souvent erronées :
- Une entreprise qui ne fonctionne pas → “Je ne suis pas fait pour l’entrepreneuriat.”
- Un refus ou un rejet → “Je ne suis pas assez bon.”
- Un projet qui prend du temps à décoller → “Je n’ai pas ce qu’il faut pour réussir.”
Au lieu de voir ces situations comme des apprentissages, nous avons tendance à en faire des vérités générales qui nous bloquent pour l’avenir.
5. La société et ses idées reçues sur la réussite
La culture populaire nous impose des modèles figés de réussite :
- “Pour réussir, il faut travailler dur et faire des sacrifices.”
- “Il faut être extraverti et charismatique pour être un bon leader.”
- “La stabilité est plus importante que la passion.”
Ces idées nous empêchent parfois d’explorer des chemins alternatifs et de suivre nos propres aspirations.
6. Les médias, films, célébrités et réseaux sociaux
Les médias et les réseaux sociaux renvoient une image biaisée de la réussite et du bonheur :
- Les influenceurs et entrepreneurs qui semblent réussir sans effort.
- Les standards de beauté inatteignables.
- L’image du “self-made man” qui réussit seul, sans aide ni mentor.
Ces représentations renforcent nos insécurités et nous font croire que nous sommes en retard ou que nous n’avons pas les capacités pour réussir.
11 exemples de croyances limitantes des chefs d’entreprise débordés (et leurs conséquences)
Voici une liste de croyances limitantes qui peuvent mener au surmenage et freiner la croissance de votre entreprise.
“Personne d’autre ne peut faire mon travail aussi bien que moi.”
Vous avez des années d’expérience, une expertise unique, et une façon bien à vous de faire les choses. Vous êtes convaincu que personne ne pourra jamais obtenir le même résultat que vous, alors vous gardez tout sous contrôle et refusez de déléguer. Conséquence ? Vous vous retrouvez débordé, incapable de vous concentrer sur les vraies priorités de votre entreprise.
“Demander de l’aide aux autres est un aveu de faiblesse”
Dans votre esprit, déléguer, c’est admettre que vous ne savez pas tout faire ou que vous n’êtes pas capable d’encaisser la charge de travail. Vous avez peur d’être perçu comme incompétent, alors vous assumez tout, quitte à vous épuiser.
“J’ai peur d’être perçu comme un imposteur si quelqu’un fait les choses mieux que moi.”
L’idée qu’un collaborateur puisse exceller dans une tâche que vous faisiez jusqu’ici vous met mal à l’aise. Vous craignez que cela remette en question votre propre valeur dans l’entreprise. Mais en pensant ainsi, vous limitez votre croissance et celle de votre équipe. Un bon leader ne cherche pas à tout maîtriser, il sait s’entourer de personnes compétentes.
Lire aussi : Syndrome de l’imposteur : 4 stratégies pour le vaincre
“Dire non, c’est être égoïste”
Vous avez appris à être serviable, à rendre service, à ne pas décevoir. Refuser une demande, c’est aller à l’encontre de cette image de “personne bienveillante”. Mais dire oui à tout, c’est sacrifier votre propre temps et vos priorités. Un entrepreneur efficace sait protéger son temps et fixer des limites claires.
Lire aussi : L’art de savoir dire non
“Les conflits sont une mauvaise chose.”
Vous évitez les discussions inconfortables, quitte à tolérer des comportements qui nuisent à votre entreprise. Vous gardez des collaborateurs qui sous-performent, vous laissez passer des erreurs, vous repassez derrière eux pour éviter d’avoir à les recadrer. Pourtant, un désaccord bien géré n’est pas un conflit, c’est une opportunité d’amélioration et de clarté.
“Tout doit être parfait.”
Vous relisez 10 fois vos emails, vous passez des heures à peaufiner un détail sur un projet, vous retravaillez encore et encore vos présentations. Le perfectionnisme vous permet de produire un travail de qualité, mais il vous ralentit et vous empêche de passer à l’action rapidement. Et surtout, il vous rend incapable de déléguer, puisque personne ne fera “aussi bien” que vous.
Lire aussi : Perfectionnisme : 5 stratégies simples pour le surmonter
“Planifier mes journées me prive de liberté.”
Vous aimez la spontanéité et la flexibilité. Pour vous, planifier signifie s’enfermer dans un cadre rigide qui enlève toute créativité. Mais sans planification vos journées sont chaotiques : les urgences prennent le dessus, vous perdez du temps à décider quoi faire, et vous finissez par ne jamais avancer sur vos véritables priorités.
“Les processus alourdissent le travail.”
Vous associez les processus à de la bureaucratie inutile. Vous pensez qu’ils ralentissent les choses et qu’il vaut mieux improviser. Mais en réalité, l’absence de processus crée du chaos, multiplie les erreurs et vous rend indispensable pour chaque décision. Un bon processus ne bride pas, il libère du temps et de l’énergie.
“Je ne peux pas facturer ce prix, c’est trop cher.”
Vous avez peur de fixer un prix élevé de crainte que personne ne veuille payer. Vous gardez donc des tarifs bas, quitte à multiplier les petits contrats et vous surcharger de travail. Pourtant, la valeur de votre travail ne dépend pas uniquement de son prix, mais de l’impact et des résultats que vous apportez à vos clients.
“Ma valeur dépend de ce que j’accomplis.”
Vous vous sentez utile et valorisé lorsque vous cochez des tâches, décrochez un gros contrat ou résolvez un problème. Mais l’inverse est aussi vrai : dès que vous ne “produisez” pas, vous avez l’impression d’être inutile. Ce besoin constant de prouver votre valeur vous pouse à travailler tout le temps.
“Je n’ai pas le temps de former.”
Former quelqu’un prend du temps. Un temps que vous n’avez pas. Alors, vous préférez tout faire vous-même plutôt que d’expliquer comment faire. Mais en négligeant la formation, vous créez une équipe dépendante, qui vous sollicite pour chaque détail et ne prend pas d’initiatives. Au final, ce manque de formation vous coûte bien plus de temps que vous ne le pensez.
Comment surmonter vos croyances limitantes en tant que chef d’entreprise ?
Étape 1 : Identifiez vos croyances limitantes
Avant de surmonter vos croyances limitantes, vous devez d’abord les identifier. Pour cela restez attentif aux expressions que vous utilisez au quotidien, elles révèlent souvent ce que vous pensez au plus profond de vous. Par exemple :
- “J’aimerais développer une offre haut de gamme, mais personne ne voudra payer ce prix.” → Croyance limitante : “Mon travail ne vaut pas un prix élevé.”
- “J’aimerais réduire mon temps de travail, mais mon entreprise ne peut pas tourner sans moi.” → Croyance limitante : “Si je ne suis pas constamment présent, tout s’effondrera.”
- “J’aimerais arrêter de répondre aux emails en dehors des horaires de travail, mais mes clients risquent de me reprocher mon manque de réactivité.” → Croyance limitante : “Je dois être disponible 24/7 pour être un bon dirigeant.”
“J’aimerais, mais” est un indicateur utile pour découvrir ce qui vous bloque.
Les généralisations permettent aussi de mettre le doigt sur vos croyances limitantes. Quand vous dites “Jamais”, Toujours”, “Tout le temps”, vous trouverez souvent l’une d’entre elles à l’oeuvre :
- “Chaque fois que je délègue, ça se termine toujours mal.” → Croyance limitante : “Personne ne peut faire les choses correctement à ma place.”
- “Je suis toujours débordé.” → Croyance limitante : “Je n’ai aucun contrôle sur mon emploi du temps.”
- “Mes collaborateurs ne prennent jamais d’initiatives.” → Croyance limitante : “Je ne peux pas leur faire confiance.”
La façon dont vous vous exprimez en dit donc long sur votre système de croyances. Observez ce que vous dites et pensez au quotidien et vous parviendrez à déceler ces convictions profondes qui vous bloquent.
Étape 2 : Surmonter vos croyances limitantes avec le questionnement socratique
Socrate ne cherchait pas à convaincre ses interlocuteurs par des arguments. Il leur posait des questions qui les amenaient à réfléchir, à voir les choses autrement et, inévitablement, à se rendre compte des failles dans leur raisonnement. Vous pouvez appliquer cette approche à vos propres croyances limitantes pour les déconstruire progressivement.
Prenons un exemple concret :
Vous pensez peut-être : “Je ne peux pas déléguer, mon équipe fera des erreurs.”
Plutôt que d’accepter cette pensée comme une vérité absolue, interrogez-vous.
Est-ce que cette affirmation est toujours vraie ? Aucun membre de votre équipe n’a jamais bien exécuté une tâche sans vous ? Avez-vous déjà constaté une situation où un collaborateur a pris une initiative bénéfique ?
En y réfléchissant, vous réaliserez sans doute que, même si des erreurs ont été commises par le passé, certains membres de votre équipe ont déjà prouvé leur capacité à bien gérer certaines responsabilités.
Demandez-vous ensuite ce qui vous bloque réellement. Est-ce la peur des erreurs, ou l’impression de perdre le contrôle ? Avez-vous mis en place un cadre et des process clairs pour guider vos collaborateurs ? Si les erreurs persistent, est-ce parce que votre équipe est incapable, ou bien parce qu’il manque des directives et un suivi adapté ?
Projetez-vous dans une situation où vous commencez à déléguer progressivement. Que se passerait-il si vous testiez la délégation sur une petite tâche, avec des consignes précises et un suivi structuré ? Si cela fonctionne, cela prouverait que votre croyance initiale était exagérée.
En adoptant cette démarche, vous réalisez que cette croyance limitante n’est pas une vérité absolue, mais une perception biaisée par vos expériences et vos peurs.
Pro tip
Si vous avez du mal à remettre en question vos propres croyances, utilisez un outil comme ChatGPT pour simuler cet exercice. Essayez ce prompt :
Tu es Socrates et tu sais être persuasif. Je vais te donner une de mes
croyances limitantes et tu vas la remettre en question me posant une
question à chaque fois que je te donne une réponse.
L’intelligence artificielle jouera le rôle de Socrate et vous aidera à déconstruire progressivement votre croyance en posant des questions pertinentes.
Étape 3 : Expérimentez pour transformer vos croyances
Changer une croyance limitante ne se fait pas en se répétant simplement des affirmations positives. Votre cerveau a besoin de preuves concrètes pour ancrer une nouvelle conviction. La meilleure façon d’y parvenir est d’expérimenter, d’agir différemment et d’accumuler des résultats tangibles.
Si vous avez identifié une croyance qui vous freine, demandez-vous : quelle nouvelle expérience pourrais-je vivre pour la remettre en question ?
Prenons quelques exemples :
- Vous pensez que vous ne pouvez pas déléguer ? Testez en confiant une tâche spécifique à un collaborateur avec des instructions claires et un suivi. Observez le résultat. Vous réaliserez peut-être que, bien encadrée, votre équipe est plus capable que vous ne le pensiez.
- Vous croyez que vos clients ne paieront pas un prix plus élevé ? Augmentez légèrement vos tarifs pour un nouveau client et voyez sa réaction. Vous pourriez être surpris de voir que la valeur perçue dépend aussi de votre posture et de la confiance que vous avez en votre offre.
- Vous êtes persuadé que vous devez être disponible 24/7 ? Désactivez vos notifications professionnelles en dehors de vos horaires habituels et observez si vos clients vous reprochent réellement votre “manque de réactivité”… ou si ce stress venait surtout de vous.
Le but n’est pas de tout bouleverser du jour au lendemain, mais d’accumuler de petites preuves qui contredisent vos croyances limitantes. Plus vous vivez d’expériences qui prouvent que vous pouvez fonctionner autrement, plus votre cerveau acceptera cette nouvelle réalité.
Conclusion
Vos croyances limitantes façonnent votre quotidien. Elles influencent vos choix, dictent vos actions et vous empêchent souvent d’exploiter pleinement votre potentiel.
La bonne nouvelle ? Elles ne sont pas immuables. Vous pouvez les déconstruire et les remplacer par des croyances plus utiles en suivant ces 3 étapes :
- Étape 1 : Identifiez vos croyances limitantes en observant la façon dont vous vous exprimez.
- Étape 2 : Posez-vous une série de questions logiques pour fragiliser vos croyances.
- Étape 3 : Choisissez de nouvelles croyances et renforcez-les en cherchant à vivre de nouvelles expériences.
Test : Quelles sont vos croyances limitantes ?
Curieux de savoir quelles croyances limitantes vous freinent ? Téléchargez gratuitement le test et découvrez celles qui vous influencent le plus.